400 km et je m'attendais à une route difficile: il n'en fut rien. Trafic faible, et route droite dans les forêts de pins et de bouleaux. On longe la mer (magnifiques plages pas exploitées) les 2/3 du trajet. Passage de la frontière estonienne sans aucun ralentissement. On est bien en Europe. Vous vous rappelez, les enfants, les attentes à la frontière du temps de communistes ?
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